Banniere Congres 2024Cerfo

Le génie au service de la sylviculture accrue :
Équilibrer productivité, résilience et santé des forêts

 

7 et 8 novembre 2024
Présentiel et virtuel
Hôtel Le Concorde Québec
Québec

Le Congrès 2023 de l’Ordre a été véritablement un événement rassembleur et mobilisateur de tous les partenaires du milieu forestier. Bien que l’ingénieur forestier y tenait un rôle important pour proposer des pistes de solutions aux propositions de positionnement pour améliorer la gouvernance des forêts publiques québécoises, nous avons bien peu discuté de la pratique professionnelle de l’ingénieur forestier. Cela dit, le congrès de 2023 avait sa raison d’être afin de planifier l’avenir, le document du consensus atteint par les partenaires du milieu forestier en est le principal exemple.

Pour le congrès 2024, nous désirons aborder un des éléments essentiels qui est ressorti de ce consensus, soit de faire un effort sylvicole accru. Représentant le cœur de la pratique professionnelle de l’ingénieur forestier, ce congrès se veut donc être un lieu d’échanges et de réflexions pour les ingénieurs forestiers, où seront discutés les meilleures pratiques, les innovations et les défis liés à une sylviculture accrue, en mettant l'accent sur la productivité forestière, la résilience et la santé des forêts.

Inscrivez dès maintenant ces dates à votre agenda et surveillez nos prochaines communications pour la sortie de la programmation de l’événement. Notez que les inscriptions pour la visite terrain et le Congrès se feront séparément.

 Programmation préliminaire


Mercredi 6 novembre


Activité Précongrès 2024 - Visite terrain : Sylviculture accrue

En collaboration avec le Cerfo
Sur la Rive-Sud de Québec

Les inscriptions se font séparément : Plus de détails 


Jeudi 7 novembre 2024


7 h 45 – Accueil des participants

8 h 30 –  Mot d'accueil par l'animatrice, Maryse Le Lan, ing.f.

8 h 30 – 8 h 45 - Mot de bienvenue par la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina.

8 h 45 - Mot de Président par Patrick Pineault, ing.f.

8 h 55 – 9 h 25 - Mot d’ouverture : Sylviculture au service du rendement accru

  • Jacques Gravel, ing.f., Service de la planification et de la sylviculture, Direction de l’aménagement et de l’environnement forestiers, Ministère des Ressources naturelles et des Forêts

9 h 25 – 10 h 10 – Apport de la génétique forestière à la sylviculture des plantations : identifier et reproduire des arbres productifs, adaptés et résilients

  • Martin Perron, biol, Ph. D., chercheur, direction de la recherche forestière, Ministère des Ressources naturelles et des Forêts

Comment les variations génétiques sont transmises, réparties et influencées par l’environnement ? La génétique forestière comprend de nombreux aspects tels que : diversité génétique et migration assistée. Pour sa part, l’amélioration génétique des arbres intègre un ensemble de connaissances, afin d’ajuster le choix des arbres semenciers produisant les semences pour le reboisement d’un territoire donné (territoire d’utilisation); afin d’assurer l’adaptation et la résilience des arbres pour un maintien de la productivité de bois de qualité.

Collaboratrices et collaborateur : Clémentine Pernot (MRNF), Guillaume Otis Prud’Homme, ing.f. (MRNF) et Julie Godbout (MRNF)


10 h 10 – 10 h 30 - Pause


10 h 30 – 11 h - Régénération et changements climatiques : opportunités et facteurs critiques pour une sylviculture résiliente

  • Nelson Thiffault, ing.f., Ph.D., chercheur scientifique, Centre canadien sur la fibre de bois, Ressources naturelles Canada

Le stade de régénération joue un rôle crucial dans le développement des peuplements forestiers, particulièrement face aux impacts des changements climatiques. Les pratiques actuelles de régénération, combinées à la sensibilité des essences aux stress environnementaux, détermineront la capacité des forêts à s’adapter aux conditions climatiques futures. Les défis et opportunités de la sylviculture d’adaptation, y compris la migration assistée des essences forestières, seront abordés à travers les stratégies de résistance, de résilience et de transition.

Collaboratrice : Morgane Urli, Ph.D., professeure, Département des sciences biologiques (UQÀM)

11 h - 11 h 30 - Les défis de la récupération des bois brûlés et utilisation des coupes partielles pour diminuer les risques de feux de forêt

  • Jean-Philippe Gaudreau, ing.f., chercheur sénior, Foresterie, FPInnovations

La récupération des bois brûlés est une course contre la montre comme on le sait. FPInnovations a suivi une équipe de récolte afin de mieux connaître la réalité de ce type de récolte. Les impacts sont variables et difficiles à quantifier. À l’autre bout du spectre, comment travailler en amont afin de diminuer les dangers d’incendies forestiers en utilisant les coupes partielles? Un regard tourné vers les opportunités d’agir et d’atténuer les risques.

11 h 30 – 12h – Les plantations et regarnis répondent-ils aux attentes?

  • Martin Barrette, ing.f., Ph. D., chercheur, direction de la recherche forestière, Ministère des Ressources naturelles et des Forêts

Les plantations et regarnis sont cruciaux pour répondre à la demande mondiale de bois en raison de leur rendement plus élevé que les forêts naturelles. Ils soutiennent la production de bois, la conservation des forêts, la séquestration du carbone et la résilience aux facteurs de stress. Cependant, si leurs rendements sont inférieurs aux attentes, leurs utilisations pourraient générer des enjeux de durabilité. Notre étude a évalué les rendements des plantations d’épinette noire, d’épinette blanche et de pin gris à travers le Québec et le rendement de regarnis d’épinette noire dans la forêt boréale.

Collaboratrices et collaborateurs : Nelson Thiffault, ing.f. (RNCan), Isabelle Auger (MRNF), Julie Barrette, ing.f. (MRNF), Yan Boucher, ing.f. (UQAC), Florence Tremblay, ing.f. (MRNF), Guillaume Tremblay Boulet, ing.f. (MRNF) et Daniel Dumais, ing.f. (MRNF).


12 h 00 - 13 h 30 Dîner des jubilaires de l'OIFQ


13 h 30 – 14 h 15 - Systèmes sylvicoles inéquiennes en forêt boréale

  • Jean-Martin Lussier, ing.f., Ph.D., chercheur scientifique en sylviculture et digitalisation de l’aménagement forestier, Centre Canadien sur la Fibre de bois, Service Canadien des Forêts, Ressources naturelles Canada, Gouvernement du Canada

14 h 15 - 15 h - Approche multitraitement pour la gestion de peuplements à dominance feuillus : conception, opération, constats

  • Eric R. Labelle, ing.f., Ph.D., professeur agrégé, opérations forestières numériques, Département des sciences du bois et de la forêt, Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, Université Laval

Les variations d’essences, de distribution diamétrale et de hauteurs ainsi que la qualité rendent difficile la gestion des peuplements dominés par les feuillus, particulièrement lorsqu'on envisage des opérations forestières mécanisées. Cette étude visait à développer et à tester sur le terrain un outil conçu pour améliorer la faisabilité des opérations forestières dans les peuplements forestiers hétérogènes de l'est du Canada.


15 h 00 - 15 h 30 Pause


 15 h 30 – 16 h 15 – La sylviculture accrue, ça s’opère!

  • Mathieu Dufresne, ing.f., surintendant opérations, Scierie St-Michel

Plus de terrain pour des interventions mieux ciblées et adaptées; Changer les paradigmes face aux coupes commerciales; Que veut-on accroître?

16 h 15 – 17 h – Sylviculture accrue dans un futur incertain : savoir conjuguer à tous les temps

  • Donald Blouin, ing.f., M. Sc., directeur – Ressources forestières, Cerfo
  • Samuel Royer-Tardif, biol., Ph. D., directeur – Environnement forestier, Cerfo

Pourquoi une sylviculture accrue ? Dans le contexte changeant actuel, on compte de plus en plus sur les arbres pour répondre aux besoins sociétaux et aux enjeux environnementaux. Toutefois, sous l’action des changements climatiques, plusieurs facteurs pourraient limiter la superficie de la forêt productive. Pour concrétiser la contribution souhaitée de l’arbre, il importe d’intensifier la production ligneuse sur certaines superficies. Les certitudes n’existent pas dans la culture de la forêt. C’est l’apprentissage par l’observation du passé qui doit guider les actions d’aujourd’hui en vue de produire le maximum d’opportunité pour demain. Une intervention sylvicole ne vient jamais seule, se positionnant toujours dans une séquence d’activités, puisque c’est la poursuite de l’application de la séquence qui assurera sa réussite globale.

Pour contribuer à la biodiversité et à la résilience de nos forêts de demain, l’adaptation passera par l’implantation d’essences difficiles à régénérer. Pour réussir, l’acte professionnel nécessitera la collaboration et l’implication de tous les acteurs du milieu, mais également le suivi de l’efficacité des solutions mises de l’avant. Dans cette présentation, l’expertise acquise par le CERFO, au cours des 40 dernières années, servira de point d’ancrage pour documenter la pratique, constater qu’il n’est pas nécessaire de réinventer la roue et témoigner de l’importance de passer à l’action.

17 h 00 ‐ Cocktail réseautage Producteurs et productrices acéricoles du Québec

19 h 00 - Banquet du président et remise des Distinctions de l'Ordre


8 novembre 2024

 


8 h - Assemblée générale de l’Ordre (réservée exclusivement aux membres de l’Ordre) 


10 h - 10h30 - Pause


10 h 30 – 11 h 15 - La comparaison de différents régimes forestiers au Canada et aux États-Unis.

  • Maxime Langlais, Ing.f., M.B.A., Vice-Président Operations, Résolu

Nous nous attarderons plus précisément sur l’aménagement et la sylviculture ayant pour but d’en accroitre la pérennité et productivité.

 11 h 15 – 12 h – Les investissements forestiers valent-ils la peine? Examen de leur rentabilité.

  • Luca Gabriel Serban, ing.f., Ph. D.

Vaut-il la peine d’investir dans des plantations forestières? Cette question essentielle est toujours d’actualité. Nous tenterons d’y répondre en présentant un portrait à jour de la situation mondiale du marché du bois et les concepts économiques associés aux analyses de rentabilité des investissements forestiers, de même que quelques exemples pour le Québec.            

12 h - Mot de clôture

12 h 30 – Fin du Congrès


Biographies 


 

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Maïté Blanchette Vézina, Ministre des Ressources naturelles et des Forêts et Ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine

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Martin Barrette, ing.f., Ph. D.

Martin Barrette est chercheur à la Direction de la recherche forestière depuis 2009. Il est professeur associé à l’Université Laval et membre associé du Centre d’étude de la forêt. Son programme de recherche à la Direction de la recherche forestière a pour but de promouvoir la durabilité de l’aménagement forestier. Il étudie la productivité, les dynamiques successionnelles, la résilience et la naturalité des forêts aménagées.

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Donald Blouin, ing.f., M. Sc.

Donald Blouin est titulaire d’un baccalauréat en Aménagement des ressources forestières et d’une maîtrise en sciences de l’Université Laval. Il est membre de l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec depuis 1989. À l’emploi du CERFO depuis 1994, il occupe actuellement le poste de directeur de la recherche. Au cours de sa carrière, il a offert aux conseillers, techniciens et ingénieurs forestiers un grand nombre de formations en statistique appliquée à la foresterie. Il a contribué à la mise en place d’un important réseau panquébécois de dispositifs de comparaison d’interventions sylvicoles dans les peuplements feuillus et mixtes. Il a participé à la rédaction de plus de 200 rapports techniques de recherche scientifique documentant la dynamique forestière pour l’établissement de scénarios sylvicoles performants.

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Mathieu Dufresne, ing. f.

Mathieu Dufresne a obtenu son baccalauréat en Opérations forestières en 2004 et est membre de l’OIFQ depuis 2005. M. Dufresne a débuté sa carrière comme contremaître de récolte dans la Mauricie jusqu’en 2009, ce qui lui a permis d’acquérir une solide expérience de terrain et de gestion des opérations forestières. Depuis 2009, il est responsable de la planification et des opérations forestière pour la Scierie de Saint-Michel-des-Saints qui récolte près de 500 000 m3 de bois toutes essences pour Scierie St-Michel et les BGA de l’UA 06271. Il est d’ailleurs mandataire de gestion/représentant des BGA pour les UA de Lanaudière depuis 2009. Depuis 2022, dans son travail de surintendant des opérations, il s’occupe du transport en plus de superviser l’équipe de foresterie. M. Dufresne siège comme administrateur sur le CA de l'OIFQ depuis 2019.

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Jean-Philippe Gaudreau, ing.f.

Diplôme Université Laval 2005, Baccalauréat Opérations forestièresDiplôme Université Laval 2005, Baccalauréat Opérations forestièresJean-Philippe possède une vaste expérience au niveau de la planificationet de l’implantation des coupes partielles, spécialement les éclairciescommerciales. Il a travaillé en industrie pendant 6 ans avant de se joindreà FPInnovations en 2011, à titre de chercheur en opérations forestières. Dès lors, les activitésde transfert de connaissances reliées à l’approvisionnement en fibres se sont accumulées.Aujourd’hui, Jean-Philippe travaille principalement au niveau de la numérisation des opérationsforestières.

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Jacques Gravel, ing.f.

Jacques Gravel obtient son baccalauréat en opérations forestières à l’Université Laval en 1991. De 1991 à 2004, il travaille à l’Unité de gestion de La Tuque, en Mauricie, au ministère des Ressources naturelles et des Forêts. Depuis 2004, il est conseiller provincial en sylviculture et travaille principalement à l’intégration opérationnelle des connaissances scientifiques sur les différents traitements sylvicoles. Il a notamment rédigé le chapitre sur le diagnostic et la prescription sylvicoles du Guide sylvicole du Québec.

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Eric R. Labelle, ing.f., Ph.D.

M. Labelle a reçu son diplôme de baccalauréat en sciences forestières de l'Université de Moncton, une maîtrise en génie forestier et un doctorat en foresterie à la University of New Brunswick. De septembre 2014 à octobre 2019, M. Labelle était professeur adjoint en opérations forestières à la Technical University of Munich en Allemagne. Depuis novembre 2019, Eric est professeur en opérations forestières numériques à l'Université Laval où il poursuit sa passion et sa recherche pour des opérations forestières à faibles empreintes.

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Maxime Langlais, Ing.f., M.B.A.

Monsieur Langlais est diplômé de la Faculté de foresterie et de géomatique de l’Université Laval en aménagement et environnement forestiers (1995) et est membre de l’Ordre depuis cette date. Il détient également une maitrise en administration des affaires pour cadres de l’Université du Québec obtenue à l’Université de Chicoutimi. Il cumule plus de 29 années d’expériences dans différents domaines de la profession aussi variés que l’inventaire forestier, les opérations forestières, la première, deuxième et troisième transformation des produits forestiers. De plus, durant toutes ces années, il a eu la chance d’œuvrer principalement au sein d’entreprises d’envergures et y a occupé différents postes de direction dans différentes régions du Québec, différentes provinces de même qu’aux États-Unis.

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Maryse Le Lan, ing.f., M. Sc.

Maryse Le Lan est titulaire d’un baccalauréat en biologie de l’Université de Montréal en 2014 et d’un baccalauréat en aménagement et environnement forestier de l’Université Laval en 2017. Elle a également complété une maîtrise en science forestière portant sur la collaboration interentreprise pour la mutualisation des capacités de production. Elle occupe depuis 2021 le poste de coordonnatrice de la planification opérationnelle de la Mauricie au ministère des Ressources naturelles et des Forêts qu’elle a joint en 2019. Depuis 2020, elle est membre de l’Ordre des ingénieurs forestiers et, en 2022, elle a rejoint le conseil d’administration de l’OIFQ, tout en s’impliquant dans le comité relève de l’ordre. Par ailleurs, elle est aussi membre du conseil d’administration de l’Association forestière de la vallée du Saint-Maurice.

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Jean-Martin Lussier, ing.f., Ph. D.

Jean-Martin Lussier est ingénieur forestier et chercheur au Service canadien des forêts depuis 1998. Il a diplômé de l’Université Laval en 1988 en Aménagement des ressources forestières. Il a complété une maîtrise en ressources renouvelables à l’Université du Québec à Chicoutimi, ainsi qu’un doctorat en sciences de l’environnement à l’Université du Québec à Montréal. Il fait partie du Centre canadien sur la fibre de bois, un centre de recherche de Ressources naturelles Canada, dont les travaux visent à améliorer la compétitivité du secteur forestier canadien. Depuis 20 ans, les travaux de M.Lussier ont porté sur le développement de systèmes de coupe partielle adaptés aux peuplements feuillus, mélangés et résineux. Ses travaux focalisent maintenant sur le développement de solutions pour accélérer la digitalisation du secteur forestier, notamment pour l’optimisation de l’approvisionnement en bois et en bioénergie.

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Martin Perron, biol., Ph. D.

Martin Perron est chercheur en génétique forestière à la Direction de la recherche forestière depuis 2001 et chargé du cours Diversité génétique et amélioration des arbres à l’Université Laval. Il se spécialise dans l’amélioration génétique des mélèzes et des épinettes ainsi que dans la sélection par la génomique. Il étudie aussi l’effet de la sélection génétique sur la qualité du bois et le maintien de celle-ci dans les plantations, notamment pour l’épinette noire et l’épinette blanche.

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Samuel Royer-Tardif, Ph. D.

Samuel Royer-Tardif est directeur - environnement forestier au CERFO. Il détient un baccalauréat et un doctorat en biologie de l’Université de Sherbrooke et a été stagiaire postdoctoral à l’Université du Québec en Outaouais. Il est membre de l’Association des biologistes du Québec. Cumulant près de quinze années d’expérience en recherche dans les milieux universitaire, gouvernemental et collégial, M. Royer-Tardif souhaite trouver des solutions efficaces et réalistes aux enjeux environnementaux actuels. Concrètement, son expertise porte sur l’évaluation de la capacité d’adaptation et de la vulnérabilité des forêts ainsi que sur la mise en place de mesures d’adaptation favorisant la résistance, la résilience ou la transition des écosystèmes forestiers face aux changements globaux. Il vise une approche inclusive, participative et collaborative encourageant l’interdisciplinarité et la mise en commun des forces respectives de chacun. Il a à son actif une douzaine de publications scientifiques et autant de rapports professionnels et d’articles de vulgarisation dans des journaux destinés au grand public.

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Luca-Gabriel Serban, ing.f., Ph. D. 

Luca Gabriel Serban est chercheur à la Direction de la recherche forestière dans le créneau des plantations depuis 2019. Il se concentre sur la rentabilité financière et économique des investissements forestiers. Il étudie le rendement, les traitements sylvicoles et le panier de produits des plantations résineuses.

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Nelson Thiffault, ing.f., Ph.D.

Nelson Thiffault est ingénieur forestier, titulaire d’un baccalauréat en aménagement en environnement forestiers de l'Université Laval et d'un doctorat en sciences forestières de la même institution. Nelson travaille en tant que chercheur pour le Service canadien des forêts de Ressources naturelles Canada, se concentrant sur la recherche en sylviculture, y compris l'établissement de la régénération et la gestion de la végétation. Il est professeur associé dans quatre universités et rédacteur en chef adjoint du Canadian Journal of Forest Research. Nelson est le coordonnateur adjoint de l'unité de l'IUFRO sur l'écologie et la sylviculture de l'épinette et du groupe de travail sur les forêts plantées résilientes au service de la société et de la bioéconomie.

 Date limite pour l'inscription en présentiel : 1er novembre, à midi

 Date limite pour l'inscription en virtuel :  6 novembre, à midi

bouton inscription

 

Le mode virtuel sera aussi offert. Une fois inscrit, vous recevrez un lien 24 heures avant le début de l’événement.

Un certificat de participation de 8 heures vous sera remis dans les jours suivant l'événement.

Un bloc de chambres est réservée jusqu'au 7 octobre 2024. Veuillez mentionner pour le Congrès OIFQ lors de la réservation.


Comité organisateur du Congrès 2024 : 

Maryse Le Lan, ing.f., M. Sc.
Marjorie Lebreux, ing.f.
Jocelyn Lessard, ing.f.
Patrick Pineault, ing.f.
Du siège social : 
François-Hugues Bernier, ing.f.
Marie-Claude Dussault, M.B.A.

 


Merci à nos précieux partenaires 


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